samedi 23 mars 2013
Journée mondiale de l'eau
A l’instar de toute la communauté, service régionale de l’hydraulique de Kaolack a organisé la journée mondiale de l’eau placé sous le thème coopération dans le domaine de l’eau.
Sous la présidence du gouverneur de région, cette journée a battu un record de participation avec la présence des services techniques de l’hydraulique, des partenaires au développement, du service d’hygiène , de la SDE, des ASUFORS de la région……………………….
Le thème de cet année coopération dans le domaine de l’eau a suscité beaucoup de débats qui ont été fructueux.
La coopération selon les participants est un acte de participation à une œuvre communautaire qui peut se faire sous forme d’appui, d’aide ou de conseil. Donc il est urgent pour que tous les acteurs du domaine de l’hydraulique se lance dans cette dynamique de coopération qui n’’a pas de frontière comme l’eau car beaucoup de Sénégalais s’approvisionne de ce précieux liquide qui nous viens d’une part du Fouta Djallon en république de Guinée. L’eau bien qu’occupant les 2/3 de la superficie mondiale est une denrée rare car seul 1% de cette eau est consommable car la qualité de cet eau pose problème et demande souvent des investissements énormes. Les types de coopération que l’on peut retenir pour l’eau sont :
•La coopération internationale
•La coopération sous régional c’est l’exemple des organisations comme l’OMVS et
L’OMVG
•La coopération bilatérale c’est l’exemple de la coopération Belge
•La coopération publique privée comme la SDE et le futur OFOR en gestation
•La coopération des collectivités locale et les projets
Mais dans ce domaine surtout dans le secteur de l’hydraulique rurale au sein des structures comme les ASUFOR, force est de reconnaitre que cette coopération marche au ralenti car rare les unions locales qui fonctionne et la fédération depuis sa mise en place cherche des repères pour pouvoir mieux conduire sa mission
jeudi 13 septembre 2012
Mort Mysterieuse de Makha Seck dit '' Gambien''
C’était la consternation et la tristesse lors de la découverte macabre à sadiogua d’un corps sans vie en état de putréfaction avancé .Difficile de reconnaitre la personne .Il a fallu que l’on enlève le chapeau pour voir les rastas qui ont permis d’affirmer que c’était gambien
Que c’est il passé ? yalla rek ka Khame . De toutes les façons les commentaires vont bon train à ndofane .
Que la terre lui soit légère
vendredi 27 juillet 2012
AUDITS ARMP : Le bamboula de Samba Ndiaye à la Sirn
Les audits ont épinglé, la gestion du Directeur général de la Société d’Investissement et de Restructuration navale (Sirn), Samba Ndiaye. L’audit réalisé par le Business System Consulting Group (Bsc) révèle que « la Sirn a exécuté cinq Demandes de Renseignement et de Prix (Drp) pour un montant cumulé estimé à 37 547 978Fcfa. Pour la réalisation d’une étude de faisabilité pour le renouvellement des pirogues de pêche artisanale au Sénégal, une mission portant sur la mise en œuvre d’un plan de communication en vue du démarrage de l’enquête de terrain pour la construction navale au Sénégal a été confiée à l’agence de communication Quantum sur des bases non concurrentielles. D’après, le quotidien L’As, le rapport montre des paiements de 5 725 516Fcfa effectués au titre d’une mission, soit 50 000Fcfa de plus que le montant facturé par le prestataire. Plusieurs autres acquisitions estimées à 45 206 115Fcfa ont été aussi effectuées sans respecter les offres concurrentielles. « Pour l’acquisition d’un véhicule pick-up d’un montant de 12 500 000 Fcfa, Samba Ndiaye s’est contenté de consulter verbalement les deux concessionnaires, en violation des dispositions de l’article 77 du Code des marchés publics (Cmp) », indique le journal.
mercredi 21 septembre 2011
HISTORIQUE DE LA COMMUNE DE NDOFFANE LAGHEM par BOUBA
L’histoire de la commune de Ndoffane a toujours suscité beaucoup de débats et de controverses du fait de la diversité des sources (dates surtout) liée à une volonté d’appropriation de la paternité du village entre les Faye fondateurs, les Thiaw missionnaires et les descendants de Bamol Diabou Sow transhumants. Mais des recherches effectuées, à travers certains documents relatifs à l’histoire de Ndoffane, auprès de certains notables comme Mamadou Faye, Djim Bitèye… et ceux des villages de Gama Ndimb dans le département de Mbirkilane et de Ndiongolor lieu d’origine du fondateur, ont permis de réaliser ce document avec la plus grande objectivité pour essayer de reconstituer les pages de l’histoire de notre chère commune. A travers ces études, le village de Ndoffane serait fondé vers 1802 par Koly Faye.
En effet, le site de Ndoffane fut à l’origine une immense forêt drue peuplée de beaucoup d’animaux sauvages des hyènes, des éléphants, des buffles, des girafes, des antilopes, etc. Il était délimité par les marigots de Mbelforou au Sud-Ouest, de Sadioga à l’Ouest et de Mbassabou à l’Est. Ainsi, il était souvent parcouru par des chasseurs notamment Koly Faye par ailleurs connu aussi sous le pseudonyme de Koldadé nom qui signifierait en peulh Koly triomphe. Ce dernier venait constamment dans le site pour chasser des gibiers en saison sèche qu’il transportait à Ndiongolor son village d’origine à l’approche de l’hivernage. Mais il s’installait pour la plupart dans le village Pone-Pone auprès de Sadio Woury Sow. Il est un descendant du roi Salmone Faye. Ainsi quand leur lignée royale fut renversée dans le Sine par les Diouf, Koly prit le chemin de l’exil qui le reconduit vers 1802 dans ce site qu’il connaissait bien après avoir eu l’aval du Bour Saloum Ballé Ndoungou Ndao. Il y aménagea ainsi un habitat, dans la maison qui fait face aujourd’hui à la porte Sud de l’hôpital de la commune, s’implanta avec son bétail et s’adonna à des activités d’élevage et d’agriculture. Pour rendre populaire l’occupation effective du site, il organisa une grande fête pour inaugurer le village. A cet effet, il tua trois buffles dans la forêt, acheta beaucoup de bière en Gambie, cailla une quantité importante de lait et convia tous les villages environnants. Le festin fut tellement réussi qu’au soir de la fête Parombir Ngom, un griot venu du village de Sellick aurait prononçait le terme « arofa » qui signifierait en sérère c’est agréable ou animée. Et puisque le toponyme Ndoffane existait déjà dans le Sine ce terme va lui aussi dériver sur le même nom Ndoffane familièrement appelé Ndoffane Laghem pour le spécifier des autres Ndoffane très nombreux d’ailleurs dans le pays. Cette appellation se confirma ultérieurement lorsque Poya Ndiaye la femme de Parombir Ngom, un des invités, inventa une chanson en ces termes en sérère « Ya wélo binnana Koly Faye ô Ndoffane » qui veut dire littéralement nous adorons Ndoffane le village de Koly Faye. Peu de temps après son implantation, il fut rejoint par un transhumant peulh du nom de Bamol Diabou Sow venu du village de Gama Ndimb situé dans la nouvelle région de Kaffrine, qui dit-on était aussi souvent de passage dans la zone avec son bétail. Ils cohabitèrent ensemble parfaite harmonie. Ainsi, avant de partir Bamol Diabou affirma à Koly Faye qu’il avait rêvé d’une « foyré » grande lumière en peulh, d’une vache autochtone dans un milieu très aride et d’une autre vache étrangère dans un coin très luxuriant. Il ne tarda pas à faire savoir à Koly que ce rêve voulait dire que Ndoffane fera parti des premiers villages du terroir qui vont rayonnés mais aussi que le milieu serait plus favorable aux étrangers qu’aux autochtones. Ce qui fut avéré par le déroulement des évènements car aujourd’hui tout Ndoffanois peut s’en apercevoir. Il prédit lui également qu’il reviendra, un de ces jours, élire domicile à coté d’un arbre de « Dimb » (ordyla pinnata), situé à l’angle de la maison de Tamba Fall sur la Bourguiba qu’il avait lui-même pris le soin de ceinturer par des feuilles de rônier.
Pour sécuriser son bétail des attaques récurrentes des hyènes, il tua des gibiers qu’il vendit avec souvent des produits agricoles en Gambie pour se procurer d’armes. Seulement, Sadio Woury Sow qui le soupçonna de préparer une rébellion pour devenir le nouveau patron province du Laghem vassale de la couronne de Kahone décida d’en avertir le Bour Saloum Ballé Ndoungou Ndao. Ainsi, celui-ci envoya deux émissaires à Ndoffane en l’occurrence Sathioro et Diougou Thiaw pour surveiller l’activisme de Koly Faye et mater cette rébellion en germe dans le site. Mais, dès leur arrivée, ils écimèrent l’arbre que Bamol Diabou Sow avait enrôlé par des feuilles de rônier, laissant uniquement un tronc, sous prétexte de ne pas vouloir cohabiter avec un peulh. Ce qui fait que pendant un moment la localité fut appelée Ndoffane « Dioudé Douki » toponyme peulh qui veut dire Ndoffane souche (bouture) de Dimb. Pour écarter tous soupçons, Koly décida d’enterrer les armes dans un grand puits abandonné dénommé Ngasmag (grand puits en sérère) sis dans l’actuel quartier de Six-Routes exactement à l’emplacement de la maison de la famille Diassé dudit quartier. Etant plutôt obnubilé par la gestion de ces champs et de son bétail, il ne porta une attention particulière à la gestion administrative du village qui revint finalement à ces cousins qui s’en accaparèrent avec Sathioro Thiaw qui devint le premier chef. C’est ainsi que Ndoffane légitime à Koly Faye fondateur bascula dans les mains de la famille Thiaw.
Tout de même, Ndoffane fut partiellement abandonné en 1865 après la bataille de Pathé Badiane car en pourchassant les troupes françaises de Pinet Laprade et de Le Canard, Maba Diakhou Bâ s’attaqua aussi aux Ceddo et contraignit par la même occasion ceux du village à fuir vers la forêt. Ils y resteront jusque vers 1868 raison pour laquelle certains situent la fondation à cette date. Vu l’état de développement surtout des activités de commerce avec l’arrivée de beaucoup de Libano-syriens dans le village, il devint en 1932 une escale de traite arachidière et un pôle économique très important dans le dispositif colonial. Ainsi, Ndoffane fut pendant très longtemps le lieu de convergence de migrants venus à travers et la sous-région. Avec l’accession du pays à l’indépendance, il fut érigé en communauté rurale avec la réforme Valdiodio Ndiaye du 13 Janvier 1960 puis en arrondissement avec la réforme Jean Collin de Février 1972, instituée par la loi n°72-25 du 19 Avril de la même année, avant de devenir chef lieu de communauté rurale à partir de 1974. En 1996, la communalisation entreprise par le régime en place à travers la loi n°96-752 du 05 Septembre de la même année, il fut élevé au rang de commune de plein exercice avec Amadou Fall comme premier Maire. Cette jeune commune rurale compte aujourd’hui six quartiers : Thiérère, Léona, Six-routes, Diamaguène, Darou Salam Nord et Darou Salam Sud avec une banlieue composée de six villages qui lui sont rattachés Mbassabou, Pone-Pone, Keur Serigne Bakary, Malo-Malo, Keur Samba Ngouffa et Keur Dame Lèye.
Aujourd’hui, tous les fils de la commune doivent travailler d’arrache pied pour redorer le blason de notre cher patelin car c’était une localité de renom dans le passé. Le dynamisme de sa population surtout de son intelligentsia et de son nouveau magistrat Monsieur Samba Ndiaye doit être un atout de taille pour lui permettre de retrouver son luxe d’antant et triompher. C’est notre devoir à tous de ne ménager aucun effort pour le développement exclusif de notre cher NDOFFANE.
NDOFFANE EN AVANT LA JEUNESSE AU DEVANT
L’histoire de la commune de Ndoffane a toujours suscité beaucoup de débats et de controverses du fait de la diversité des sources (dates surtout) liée à une volonté d’appropriation de la paternité du village entre les Faye fondateurs, les Thiaw missionnaires et les descendants de Bamol Diabou Sow transhumants. Mais des recherches effectuées, à travers certains documents relatifs à l’histoire de Ndoffane, auprès de certains notables comme Mamadou Faye, Djim Bitèye… et ceux des villages de Gama Ndimb dans le département de Mbirkilane et de Ndiongolor lieu d’origine du fondateur, ont permis de réaliser ce document avec la plus grande objectivité pour essayer de reconstituer les pages de l’histoire de notre chère commune. A travers ces études, le village de Ndoffane serait fondé vers 1802 par Koly Faye.
En effet, le site de Ndoffane fut à l’origine une immense forêt drue peuplée de beaucoup d’animaux sauvages des hyènes, des éléphants, des buffles, des girafes, des antilopes, etc. Il était délimité par les marigots de Mbelforou au Sud-Ouest, de Sadioga à l’Ouest et de Mbassabou à l’Est. Ainsi, il était souvent parcouru par des chasseurs notamment Koly Faye par ailleurs connu aussi sous le pseudonyme de Koldadé nom qui signifierait en peulh Koly triomphe. Ce dernier venait constamment dans le site pour chasser des gibiers en saison sèche qu’il transportait à Ndiongolor son village d’origine à l’approche de l’hivernage. Mais il s’installait pour la plupart dans le village Pone-Pone auprès de Sadio Woury Sow. Il est un descendant du roi Salmone Faye. Ainsi quand leur lignée royale fut renversée dans le Sine par les Diouf, Koly prit le chemin de l’exil qui le reconduit vers 1802 dans ce site qu’il connaissait bien après avoir eu l’aval du Bour Saloum Ballé Ndoungou Ndao. Il y aménagea ainsi un habitat, dans la maison qui fait face aujourd’hui à la porte Sud de l’hôpital de la commune, s’implanta avec son bétail et s’adonna à des activités d’élevage et d’agriculture. Pour rendre populaire l’occupation effective du site, il organisa une grande fête pour inaugurer le village. A cet effet, il tua trois buffles dans la forêt, acheta beaucoup de bière en Gambie, cailla une quantité importante de lait et convia tous les villages environnants. Le festin fut tellement réussi qu’au soir de la fête Parombir Ngom, un griot venu du village de Sellick aurait prononçait le terme « arofa » qui signifierait en sérère c’est agréable ou animée. Et puisque le toponyme Ndoffane existait déjà dans le Sine ce terme va lui aussi dériver sur le même nom Ndoffane familièrement appelé Ndoffane Laghem pour le spécifier des autres Ndoffane très nombreux d’ailleurs dans le pays. Cette appellation se confirma ultérieurement lorsque Poya Ndiaye la femme de Parombir Ngom, un des invités, inventa une chanson en ces termes en sérère « Ya wélo binnana Koly Faye ô Ndoffane » qui veut dire littéralement nous adorons Ndoffane le village de Koly Faye. Peu de temps après son implantation, il fut rejoint par un transhumant peulh du nom de Bamol Diabou Sow venu du village de Gama Ndimb situé dans la nouvelle région de Kaffrine, qui dit-on était aussi souvent de passage dans la zone avec son bétail. Ils cohabitèrent ensemble parfaite harmonie. Ainsi, avant de partir Bamol Diabou affirma à Koly Faye qu’il avait rêvé d’une « foyré » grande lumière en peulh, d’une vache autochtone dans un milieu très aride et d’une autre vache étrangère dans un coin très luxuriant. Il ne tarda pas à faire savoir à Koly que ce rêve voulait dire que Ndoffane fera parti des premiers villages du terroir qui vont rayonnés mais aussi que le milieu serait plus favorable aux étrangers qu’aux autochtones. Ce qui fut avéré par le déroulement des évènements car aujourd’hui tout Ndoffanois peut s’en apercevoir. Il prédit lui également qu’il reviendra, un de ces jours, élire domicile à coté d’un arbre de « Dimb » (ordyla pinnata), situé à l’angle de la maison de Tamba Fall sur la Bourguiba qu’il avait lui-même pris le soin de ceinturer par des feuilles de rônier.
Pour sécuriser son bétail des attaques récurrentes des hyènes, il tua des gibiers qu’il vendit avec souvent des produits agricoles en Gambie pour se procurer d’armes. Seulement, Sadio Woury Sow qui le soupçonna de préparer une rébellion pour devenir le nouveau patron province du Laghem vassale de la couronne de Kahone décida d’en avertir le Bour Saloum Ballé Ndoungou Ndao. Ainsi, celui-ci envoya deux émissaires à Ndoffane en l’occurrence Sathioro et Diougou Thiaw pour surveiller l’activisme de Koly Faye et mater cette rébellion en germe dans le site. Mais, dès leur arrivée, ils écimèrent l’arbre que Bamol Diabou Sow avait enrôlé par des feuilles de rônier, laissant uniquement un tronc, sous prétexte de ne pas vouloir cohabiter avec un peulh. Ce qui fait que pendant un moment la localité fut appelée Ndoffane « Dioudé Douki » toponyme peulh qui veut dire Ndoffane souche (bouture) de Dimb. Pour écarter tous soupçons, Koly décida d’enterrer les armes dans un grand puits abandonné dénommé Ngasmag (grand puits en sérère) sis dans l’actuel quartier de Six-Routes exactement à l’emplacement de la maison de la famille Diassé dudit quartier. Etant plutôt obnubilé par la gestion de ces champs et de son bétail, il ne porta une attention particulière à la gestion administrative du village qui revint finalement à ces cousins qui s’en accaparèrent avec Sathioro Thiaw qui devint le premier chef. C’est ainsi que Ndoffane légitime à Koly Faye fondateur bascula dans les mains de la famille Thiaw.
Tout de même, Ndoffane fut partiellement abandonné en 1865 après la bataille de Pathé Badiane car en pourchassant les troupes françaises de Pinet Laprade et de Le Canard, Maba Diakhou Bâ s’attaqua aussi aux Ceddo et contraignit par la même occasion ceux du village à fuir vers la forêt. Ils y resteront jusque vers 1868 raison pour laquelle certains situent la fondation à cette date. Vu l’état de développement surtout des activités de commerce avec l’arrivée de beaucoup de Libano-syriens dans le village, il devint en 1932 une escale de traite arachidière et un pôle économique très important dans le dispositif colonial. Ainsi, Ndoffane fut pendant très longtemps le lieu de convergence de migrants venus à travers et la sous-région. Avec l’accession du pays à l’indépendance, il fut érigé en communauté rurale avec la réforme Valdiodio Ndiaye du 13 Janvier 1960 puis en arrondissement avec la réforme Jean Collin de Février 1972, instituée par la loi n°72-25 du 19 Avril de la même année, avant de devenir chef lieu de communauté rurale à partir de 1974. En 1996, la communalisation entreprise par le régime en place à travers la loi n°96-752 du 05 Septembre de la même année, il fut élevé au rang de commune de plein exercice avec Amadou Fall comme premier Maire. Cette jeune commune rurale compte aujourd’hui six quartiers : Thiérère, Léona, Six-routes, Diamaguène, Darou Salam Nord et Darou Salam Sud avec une banlieue composée de six villages qui lui sont rattachés Mbassabou, Pone-Pone, Keur Serigne Bakary, Malo-Malo, Keur Samba Ngouffa et Keur Dame Lèye.
Aujourd’hui, tous les fils de la commune doivent travailler d’arrache pied pour redorer le blason de notre cher patelin car c’était une localité de renom dans le passé. Le dynamisme de sa population surtout de son intelligentsia et de son nouveau magistrat Monsieur Samba Ndiaye doit être un atout de taille pour lui permettre de retrouver son luxe d’antant et triompher. C’est notre devoir à tous de ne ménager aucun effort pour le développement exclusif de notre cher NDOFFANE.
NDOFFANE EN AVANT LA JEUNESSE AU DEVANT
mardi 26 octobre 2010
300 millions de francs pour les grands travaux de Ndoffane
Faites un tour à la mairie de Ndoffane aussitôt un grand tableau publicitaire vous accroche : Grands travaux de Ndoffane : santé –éducation- jeunesse et loisir- promotion de la femme. En résumé c’est le vœu pieux de l’édile de Ndoffane samba Ndiaye qui pour deux ans doit éjecter avec l’appui des partenaires comme l’ADM une enveloppe de 300 millions de francs pour la construction d’ouvrage au niveau de la commune. Les secteurs ciblés sont la santé l’éducation, jeunesse et loisir et la promotion de la femme.
D’ailleurs certaines ouvrages sont en cours de réalisation comme le logement du gardien de l’école 1 , la maternité du poste de santé de Darou Salam .
Reste maintenant la construction de quatre (4) salles de classe et deux (2) blocs, la modernisation du poste de gendarmerie, l’aménagement du stade municipal, l’extension des réseaux d’eau et d’électricité, la problématique de la transformation et de la commercialisation des produits agricoles, mais également le financement des activités des jeunes en termes de salle de réunion et de bibliothèque.
Monsieur le maire a du pain sur la planche bien que la date butoir pour la réalisation de ces travaux est fixée en 2012. D’ici là il pourra boucler les 100 millions et l’ADM aussi apportera ses 200 millions car c’est une promesse électorale et que Mame est un pure Ndiayene affaire à suivre
D’ailleurs certaines ouvrages sont en cours de réalisation comme le logement du gardien de l’école 1 , la maternité du poste de santé de Darou Salam .
Reste maintenant la construction de quatre (4) salles de classe et deux (2) blocs, la modernisation du poste de gendarmerie, l’aménagement du stade municipal, l’extension des réseaux d’eau et d’électricité, la problématique de la transformation et de la commercialisation des produits agricoles, mais également le financement des activités des jeunes en termes de salle de réunion et de bibliothèque.
Monsieur le maire a du pain sur la planche bien que la date butoir pour la réalisation de ces travaux est fixée en 2012. D’ici là il pourra boucler les 100 millions et l’ADM aussi apportera ses 200 millions car c’est une promesse électorale et que Mame est un pure Ndiayene affaire à suivre
jeudi 7 octobre 2010
Saliou sy le Médiateur
Pour ce qui ne le connaisse Big Zale est le sauveur de la coupe du Maire de Ndoffane. Au fait les ASC de la commune comme un seul homme avaient décidés de dire ‘’da fa doye coupe pou maire bi’’. A l’origine les subventions qui selon eux n’est qu’un ‘’fouki diouné rek’’(50 000) qui ne peut même couvrir un seul regroupement et que les autorités municipales ne peuvent pas donner aux ASC. ‘’Affaire bou doye Ware’’
Les ASC ont demandé une audience à l’adjoint au Maire ‘’Boy Poulo Ka’’ qui leur à signifier que ce n’est pas aujourd’hui ni demain ni après demain d’ailleurs il leur a renvoyé chez le comptable ‘’Thierno boy délégation spéciale du temps de Ka poulo Dieri’’ et le secrétaire municipale ‘’Ass ancien compagnon de Bourou Keur Madiabele ensuite talibé du boss marabout de medina Baye serigne Mamoune patron du RP et enfin avant devenir aujourd’hui le Farba Diouf du Laghem.
Les ASC mécontents vont voire les medias : d’abord la Laghem FM ensuite Walf. C’est avec Walf que le pire s’est produit. En effet les partisans du maire dont certains en état d’ébriété avancé ont dit que la camera de walf ne tournera jamais à Ndoffane. Mais c’était sans compter avec la détermination des jeunes qui ont finalement obtenu une deuxième victoire sur les partisans du Maire.
Alors le sauveur Big zale est venu à la rescousse réunissant toutes les ASC pour essayer de jouer une médiation. Médiation réussie à 100 % car un accord a été signé avec les deux parties, accord dans le quel les jeunes ont donné un ultimatum dont la date est fixé au 15 Octobre.
Ce qui est bizarre dans tous cela c’est la politique et la lutte de positionnement notamment au sein du PDS qui minent le Mouvement associatif. Si La zone décide de parrainé le CPN à Macoumba Diouf responsable politique à Latmingué , je pense que c’est tout à fait normale car celui-ci est un fils du Laghem comme Mame Samba et il a le droit d’être ambitieux au plan politique comme l’est aussi le maire de la commune. Donc qu’est ce qui fait peur aux proches de Mame ? Par quel pouvoir ou quel droit agissent-ils pour empêcher la jeunesse d’accéder au stade et aux médias. Pour rappel je leur renvoi au dicton ‘’l’arroseur arrosé’’
Les ASC ont demandé une audience à l’adjoint au Maire ‘’Boy Poulo Ka’’ qui leur à signifier que ce n’est pas aujourd’hui ni demain ni après demain d’ailleurs il leur a renvoyé chez le comptable ‘’Thierno boy délégation spéciale du temps de Ka poulo Dieri’’ et le secrétaire municipale ‘’Ass ancien compagnon de Bourou Keur Madiabele ensuite talibé du boss marabout de medina Baye serigne Mamoune patron du RP et enfin avant devenir aujourd’hui le Farba Diouf du Laghem.
Les ASC mécontents vont voire les medias : d’abord la Laghem FM ensuite Walf. C’est avec Walf que le pire s’est produit. En effet les partisans du maire dont certains en état d’ébriété avancé ont dit que la camera de walf ne tournera jamais à Ndoffane. Mais c’était sans compter avec la détermination des jeunes qui ont finalement obtenu une deuxième victoire sur les partisans du Maire.
Alors le sauveur Big zale est venu à la rescousse réunissant toutes les ASC pour essayer de jouer une médiation. Médiation réussie à 100 % car un accord a été signé avec les deux parties, accord dans le quel les jeunes ont donné un ultimatum dont la date est fixé au 15 Octobre.
Ce qui est bizarre dans tous cela c’est la politique et la lutte de positionnement notamment au sein du PDS qui minent le Mouvement associatif. Si La zone décide de parrainé le CPN à Macoumba Diouf responsable politique à Latmingué , je pense que c’est tout à fait normale car celui-ci est un fils du Laghem comme Mame Samba et il a le droit d’être ambitieux au plan politique comme l’est aussi le maire de la commune. Donc qu’est ce qui fait peur aux proches de Mame ? Par quel pouvoir ou quel droit agissent-ils pour empêcher la jeunesse d’accéder au stade et aux médias. Pour rappel je leur renvoi au dicton ‘’l’arroseur arrosé’’
samedi 2 octobre 2010
contribution:Renouvèlement irrégulier du comité de santé de Darou Salam
En fait ce 07 -08-10 s’est déroulée dans l’enceinte du centre de santé sise au quartier Darou Salam, l’élection du centre de santé. C’est sous la supervision de l’adjoint du Sous –Préfet de Koumbal représentant le préfet du département de Kaolack qu’a eu lieu l’élection du nouveau bureau.
Mais cette élection quoi qu’on peut dire ne sait pas passer dans les règles de l’art : des irrégularités que des irrégularités .En amont l’équipe municipale avait décas concocté son bureau. Pour se faciliter la tache elle a inscrit des délégués du village de Keur serigne Babou qui normalement devait voter au poste de santé situé au centre ville qui leur est plus proche. Certes la santé n’a pas de frontière mais la gestion des cases de santé, des postes de santé, des districts ……………………incombent aux populations les plus proches de la structure.
Des l’entame, des heurtes ont eu lieu entre ces militants fictifs et les jeunes du quartier. Alerté par l’adjoint au Sous –Préfet le médecin du district a fait comprendre que ces électeurs sont dans la légalité : C’était le début du holdup électoral.
Ce qui est étonnant l’adage dit qu’on ne doit pas changer une équipe qui gagne or l’équipe sortante a été plébiscitée.
Malheureusement il fallait changer pour changer ce qui a fait que des illettrées ayant un passé douteux sont élus pour diriger cet instance si précieuse de part son rôle.
Alors jeunes du Laghem nous devons nous unir comme un seul homme pour barrer la route à ces fossoyeurs du développement car il reste maintenant l’élection du bureau du comité de santé de Ndoffane centre
M Ndao enseignant résidant
au quartier Darou Salam Ndoffane
Mais cette élection quoi qu’on peut dire ne sait pas passer dans les règles de l’art : des irrégularités que des irrégularités .En amont l’équipe municipale avait décas concocté son bureau. Pour se faciliter la tache elle a inscrit des délégués du village de Keur serigne Babou qui normalement devait voter au poste de santé situé au centre ville qui leur est plus proche. Certes la santé n’a pas de frontière mais la gestion des cases de santé, des postes de santé, des districts ……………………incombent aux populations les plus proches de la structure.
Des l’entame, des heurtes ont eu lieu entre ces militants fictifs et les jeunes du quartier. Alerté par l’adjoint au Sous –Préfet le médecin du district a fait comprendre que ces électeurs sont dans la légalité : C’était le début du holdup électoral.
Ce qui est étonnant l’adage dit qu’on ne doit pas changer une équipe qui gagne or l’équipe sortante a été plébiscitée.
Malheureusement il fallait changer pour changer ce qui a fait que des illettrées ayant un passé douteux sont élus pour diriger cet instance si précieuse de part son rôle.
Alors jeunes du Laghem nous devons nous unir comme un seul homme pour barrer la route à ces fossoyeurs du développement car il reste maintenant l’élection du bureau du comité de santé de Ndoffane centre
M Ndao enseignant résidant
au quartier Darou Salam Ndoffane
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